CHIRURGIE ESTHETIQUE... Attention.. A encadrer
Hormis, les cas d’urgences de chirurgie reconstructrice, bien encadrée, les femmes utilisent de plus en plus et de plus en plus jeunes, ou sont tentées d’utiliser, la chirurgie esthétique pour conserver une image parfaite et rester le plus longtemps possible dans une dynamique de séduction.
Pour exemple... les prothèses PIP utilisées dans un premier temps pour nos malheureuses consœurs confrontées à cette terrible souffrance que d’être affectées par le cancer du sein, prothèses qui ont entraîné de graves conséquences faute de contrôles et pour des profits honteux pour une poignée de personnes.link
Mais dans ce cas de figure, ces prothèses ont également été utilisées par des femmes souhaitant améliorer leurs silhouettes tout simplement...
Est-il possible de nous fier et d’avoir confiance en les autorités de surveillances ??...
Mesdames, mais messieurs aussi, soyez vigilants avant de vous aventurer (si vous n’êtes pas malades) dans ces chemins très tentants je l’avoue.. mais tellement risqués... cela ne relève même pas de l’aventure...
Nos politiques semblent se pencher sur ces questions de sécurité et de surveillance link , mais aussi la société civile au travers certaines interventions.
Ce qui reste impressionnant est que la « discipline de médecine Esthétique n’existe pas en tant que telle » (sic. M. Jean Yes GRALL - Directeur général de la Santé)
Ne serait-i pas possible de créer une section spécifique avec un diplôme national ?
Que dire de l’information aux publics divers...ceci reste un point majeur à développer, sans alarmer bien entendu, mais en apportant les moyens de réflexions nécessaires à nos concitoyens (ennes) qui souhaitent de lancer dans ce chemin.
Un encadrement par la loi serait de nature à clarifier ce domaine, mais il est également possible de s’appuyer sur des journaux féminins « sérieux » à grands tirages pour avertir une grande majorité de femmes tentées par ces actes (voir la table ronde consacrée à la presse féminine)
Un important travail rester à effectuer par les responsables politiques afin de protéger ce domaine, sans l’entraver, puisque nous ne pouvons faire marche arrière.
Chacun d’entre nous doit être libre de ses choix concernant sa propre personne, mais avec suffisamment d’information pour ne pas risquer l’irrémédiable.
Le travail de la commission parlementaire concernant ce sujet reste très intéressant, faut-il maintenant que cela soit suivi d’effets positifs pour le public.
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